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 Hapiness of Campus.

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2 participants
AuteurMessage
Danaeh Jonhson

Danaeh Jonhson


Messages : 19
Date d'inscription : 11/10/2008

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MessageSujet: Hapiness of Campus.   Hapiness of Campus. EmptyMar 14 Oct - 19:17

Hapiness of Campus




    • Danaeh regardait les gouttes de pluies glisser sur la vitre, la pluie tambourinner le train. Elle avait un regard rêveur, pensant à son futur campus, le menton appuyé sur sa main. Ce temps été démoralisant, il faisait froid, sombre et il pleuvait. L'orage n'était sans doute pas loin. Pourquoi le temps était contre elle ! Le jour de sa rentrée, dans une nouvelle université, ce n'était vraiment pas de chance. Danaeh regarda les autres passagers. L'obscurité cachait la moitié de leur visage, mais elle put distinguer un vieillard en face d'elle, à moitié somnolant et toussant toutes les 5 minutes, une femme qui devait avoir la quarantainre avec un air pincé et sévère ( ce qui lui rappellait à son grannnd bohneur sa professeur de mathématique ), remontant ses lunettes sur ses yeux de temps à autres, et un jeune homme qui aurait pû être comparé à un clochard, il devait certainement avoir 20ans, puant les égouts. Danaeh ce maudit d'avoir choisit ce compartiment...

    • Le train s'arrêta et Danaeh poussa un soupir de soulagement. La route avait était longue, épuisante.De plus plus le train avait eu 5 minutes de retard, tout ce jouer contre elle. Elle se leva, pris ses bagages et laissa passé la troupe du compartiment ( encore trèèèès longue avec ce ..... de vieillard ). Danaeh referma le compartiment et partis d'un pas chaloupant vers la porte du train ( c'est lourd les bagages !). Elle attendit patiament que la porte s'ouvre, et descendit à la gare. Le sifflet du train siffla lorsqu'elle s'étira. Le voyage avait duré un peu plus d' 1 heure et demie. Elle s'avança, referma son blouson et mis sa capuche. Danaeh était ravissante, avec un slim jean clair et des bottes, son blouson marron et sa capuche recouvrant avec dommage sa magnifique chevelure chatain clair. Danaeh attendit un bus, paya le chauffeur et embarqua dedans.

    • Quand le bus stoppit, Danaeh fut prise d'un frisson. Comment aller être son nouveau campus ? Elle descendit , paya le chauffeur et regarda le batîment. Elle était heureuse, magrès la personne qui fumait et brayait au téléphone milles et une injures inprononcables, le chien qui pissait dans sur une cloture et un noir qui crachait par terre de gros glavios verts. Elle était heureuse. Ce campus était très ésthétique, mieux encore qu'un hopital. On pouvait voir une cours fleurie et les batîments niquels, blancs. Elle ouvrit le portail et se précipita vers le hall, esquivant les flaques d'eau. Elle ouvrit la grande porte et regarda autour d'elle. Tout était à la fois moderne et fantastique. Elle se frotta le spieds sur le tapis noir et avança légèrement. Plusieurs personnes était là, des nouveaux pensa t-elle. Elle posa ses affaires dans un coin et attendit l'ouverture du campus, se réchauffant les mains en leurs soufflant dessus.



* L`année promet d'être sensationnelle ! *
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Jordi Velasco

Jordi Velasco


Messages : 4
Date d'inscription : 15/10/2008

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MessageSujet: Re: Hapiness of Campus.   Hapiness of Campus. EmptyMer 29 Oct - 19:56


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    Cela faisait bien deux heures que Jordi était arrivé ici, sous une pluie comme il en avait rarement vue. Un immense sac de randonnée comme seul bagage, il avait quitté la villa paternelle du sud ouest de la France pour arriver ici, après des jours et des jours de stop. Car monsieur et les transports en commun, c'était pas une grande histoire d'amour, et il avait autre chose à faire de son argent.Il lui fallut deux jours pour arriver jusqu'à Paris, où il sympathisa avec un conducteur de poids-lourd qui lui proposa l'hospitalité de son véhicule, puisqu'il pouvait déposer Jordi sur la route. Le jeune homme était aux anges, d'autant plus que l'homme lui offrait à boire et à manger jusqu'à ce qu'il soit arrivé à destination.

    Et voilà, Jordi avait débarqué en ville, son sac démesurément chargé sur les épaules, un plan dans les mains. Tout aurait été parfait s'il n'avait pas été déposé à l'opposé du campus, vues ces trombes d'eau qui s'abattaient sur le bitume, lui martelant le crâne. Trop peu de passants à qui demander le chemin, soit, une infime possibilité de tomber sur quelqu'un d'aimable et de compréhensif. L'espagnol se débrouilla donc seul, parcourant une, deux, parfois trois fois les mêmes rues jusqu'à faire face au bâtiment principal devant lequel il ne put retenir un soupir de soulagement. C'était... Immense. Et plein à craquer, pas étonnant vu le temps qu'il faisait. Tous les élèves semblaient avoir déserté l'extérieur, et s'étaient massés entre les murs du hall d'entrée, des couloirs, parfois même des salles de classe, pour les plus studieux. Quoique, certains y entrèrent même dans le simple but d'être confortablement installés.

    Jordi, lui, entra dans le hall dans le simple but de prendre ses repères. Aucun visage ne lui semblait propice à engager la conversation, asocial comme il était, et il finit par s'asseoir sur les marches d'un escalier menant à un étage qu'il explorerait plus tard. Une fois qu'il aurait séché.

    L'eau dégoulinait de ses cheveux, quelques gouttes restaient accrochées à sa barbe de deux ou trois jours, et ses vêtements lui collaient désagréablement à la peau. Un brouhaha environnant envahissait l'entrée, se calmant peu à peu avec le temps, la plupart des élèves se résignant à changer d'endroit. La grande porte principale s'ouvrit, laissant entrer un courant d'air glacial qui fit frissonner le jeune homme, et attira son attention. Une nouvelle venue, apparemment, rejoignait ce troupeau d'adolescents frigorifiés. Elle déposa ses affaires et chercha immédiatement à produire un peu de chaleur, dans le coin adjacent aux escaliers qui servaient de siège à Jordi.


    - Sale temps hein ?
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