Bal masqué 18+ (libre)

Messages : 31 Date d'inscription : 20/09/2008

Ce simple carton d’invitation à travers les enveloppes terne. Rouge flamboyant, tape à l’ œil et inévitable. Mais ce ne fut pas la couleur de la missive qui attira le plus l’attention de la brunette. Sur l’invitation, à l’endroit ou aurait dû se lire l’adresse de retour, se trouvait une illustration intrigante; une main accueillant une pomme de la branche d’un arbre. Cela rappelait une gravure ancienne, comme celles retrouvé dans les livres d’un autre siècle. Mais ce qui la frappa surtout, c’était petite maxime inscrite sous l’illustration : Pour l’ultime dégustation du fruit défendu. Un sourire coquin apparut alors aux lèvres de Dahlia qui reconnaissait cette gravure. Elle referma la porte de son apparemment en la laissant glisser doucement le long de ces doigts et s’enfonça dans le salon. La mince robe de nuit qu’elle portait glissait dans l’aire réagissant à ces pas. Elle posa le courrier qu’elle venait d’aller chercher sur la petite able basse gardant simplement la carte rouge. Elle ouvrit l’enveloppe délicatement pour découvrir curieuse le carton doré qui s’y trouvait.

Citation :

Chère madame Short,
Vous qui vous êtes jointes à nous auparavant
Dans la recherche des plaisirs interdit,
Vous qui savez explorer vos désir et vos passions,
Vous qui appréciez la discrétion de nos explorations,
Êtes cordialement invitée à notre premier bal masqué
Pour souligner l’anniversaire de notre première aventure.

La date et le lieu du bal était inscrit plus bas de la feuilles doré, il était évidement de rigueur de se masqué le visage pour cette soirée. L’habilement requis n’était pas préciser et était a la discrétion de l’invité. Dahlia reposa la missive sur la table et continua à ces occupations. Le bal était prévu dans une semaine a ce moment là et elle avait amplement le temps de prévoir ces qu’elle aurait à faire d’ici là. Ce n’est que trois jours plus tard que la jeune femme se retrouva devant une robe vachement magnifique qui se distinguait de toutes celles qu’elle avait d’abord aperçu d’ici là. Elle était si mince si transparente que l’évidence de son achat était claire. La robe en question était rouge, et littéralement transparente. Enfin une dentelle qui laissait voir en dessous les sous vêtement de la brunette ainsi que son corps si bien fait.

Finalement, le soir était venue, Dahlia portait sous sa robe une lingerie affriolante d’une rouge un peut plus foncer que sa robe. Les pierres brillantes brillait sous la toile qui servait de tissus a sa tenue et brillait a tout rayon de lumière s’y reflétant. Ces longs cheveux noirs glissaient tel une vague dans son dos si délicats. On klaxonna à sa porte, le taxi était arrivé. La jeune femme mis son masque de dentelle diamanté représentant une louve. C’est yeux bleu claire charbonné brillait au claire du lune. Finalement le taxi s’arrêta devant une grande maison de pierre qui s’emblait totalement quelconque, jamais personne n’aurais juré que quelque chose s’y passait. La jeune femme entra et fit accueilli par un homme masqué. Il lui demanda son invitation et la laissa entré une fois celle-ci remis. La jeune fille se retrouva dans une immense salle ou une foule d’étrangers évoluaient sur une vaste piste de danse, se frottant lascivement les uns contre les autres, au son d’une musique lancinante. Éclairage tint anisé. L’immense pièce ressemblait a un château médiéval. Des hommes et des femmes s’y mouvaient; quelque uns nus d’autre habiller, comme elle. Aucun visage n’était visible, les corps était non loin les uns des autres. Des coussins étaient disposés le long des murs. Les couples prenaient le temps de se séduire. Chacun paraissait chercher le partenaire idéal selon les critères qui excluait à peu près toutes les exigences normales. Dahlia n’était qu’a peine arrivé et se contentait d’observé, un verre a la main.

Citation :

Pathétique. Oui, parfaitement pathétique. Vous savez pourquoi ? Non ? Pourtant, cela saute au yeux. Comment pouvons nous nous êtres joint a eux auparavant si nous devons aller au bal masqué pour souligné leur premier anniversaire ? Je vous le redis, pathétique. De plus, Corentin ne se souvenait pas d'une quelconque réunion de secte ou même communal d'un genre partouse. Mais il faut avouer que l'idée ne lui déplaisat pas. Il finit de lire l'invitation, ou était indiqué le lieu et la date du bl, ainsi qu'une condition, venir masqué. Mouais. Faut voir. Corentin jeta le carton d'invitation tape l'oeil sur la table et regarda le reste du courrier. Papa, cousines/cousins, banque, maman... Maman ? Exceptionnel pour le petit Corentin, sa mère lui écrit, lui qui l'as pensait a Venise avec un homme, dieu sais lequel ! Et qu'est ce qu'elle dit cette lettre, oh, vous allez rire, elle est désolez, oui oui, désolez de ne pas pu s'être interposé au choix de son père car au moment ou mon sort se réglait, elle était en compagnie charmante, donc, s'envoyait en l'air avec un acteur du moment. Le jeune homme sortit un briquet et brula la lettre. Il ne pleurait pas, il n'avait pas de peine, non, il était même content. Oui, content que sa mère est constaté qu'il n'était plus la, a moins que se soit son père qui lui ai dit. Fin bref, totu le monde demande de ses nouvelles, sa va, tu gte sens pas seule, si tu veux on vient et blablabla... Ils sont lourd quand mêmes, les proches, surtout ceux de la famille. Mais bon, pensons, a quoi, très bonne question. N'est ce pas, d'ailleurs, un de ces poètes qui nous aurait délivré ce message qu'est a quoi sert de penser si nou savons a quoi penser sans savoir quoi penser ? Et oui, on s'y perd...

Il a trouvé. Oui, a peine quelque heures avant le bal, il a trouvé quoi porter. C'était plus que simple, mais bon, c'estait sympathique, pas frocement sexy et pas forcement approprié pour le bal, mais, c'était le coup de coeur, qu'est ce qu'on eu dire a ça hein !? Il resortit de la boutique, tout content, il avait tout juste le temps de se préparer. La douche chaude prise, les cheveux séché, lisser et coiffer,le jeune homme s'habilla. Le pantalon taille basse serre, un slim quoi, noir arrandissant ses formes, le tee-shirt blanc lui aussi très moulant faisant apparaître son corps de rêve BD. *sors*, le tout legerement transparent, sans l'être trop non plus. Quand même, un peu de pudeur ! Il prit son masque aussi, un masque simple tipyque de l'époque ou Louis 14 donnais encore des bals, vous savez ce qui vous cache le visage au niveau des yeux et qui remontent en pointe, vachement bien décoré genre même mes masques valent cher. C'est ce qu'avait Corentin en noir et blanc. Autant respecté le ton de ses habits. Il attrappa un taxi et se rendit au bal. Il devait avoir commencé depuis une bonne demi heure vu la musique qui se dégagait de derrière la porte. Corentin l'ouvrit, et il fut tout de même surpris en scrutant la foule. Des gens nus. Oui, il y a des gens qui n'ont aucun pudeur. Il s'en allat au bar. Bah franchement d'autre chose a faire qu'a boire un coca. Bah oui, et regarder les filles passer aussi. D'ailleurs, une très joli s'arrête à sa hauteur... Et toi, c'est quoi ton petit nom ? Ah... C'est beau, sinon, tu fais quoi après la fête ?... Comment sa, pervers ? Cocow pervers ? Non, opportuniste. Voilà, un peu de drague ne fait pas de mal, non. En plus elle embrasse joliment bien la fille. Oh, mais, ne serais-ce pas une des rares amies, voi la seul en date a Farmonia Camp, qui se pointe joliment habillé. Corentin prend deux cocas et va voir la jeune, laissant seul sa nouvelle connaissance, préférant les authentiques. Arrvé a sa hauteur, il esquive un sourire, et lui tend un verre, criant pour couvrir la musique.

_Je t'offre un verre ?

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