Cher Matthew (pv)

Citation :

Cher Matthew
Je n’arrive plus a supporté ma mère, je la déteste a un tel point tu ne peux même pas t’imaginé. Au fil de nos lettres tu as bien compris que mon excentricité dérangeait souvent ma mère. Je crois que c’est qu’elle aime que toute l’attention sois sur elle, il faut croire que l’on a des point en commun et que je ne suis pas que le fruit du jus de couilles de mon cher père. Mais la jalousie chez elle à atteins un point limite. Oui je sais je sais tu ne me suis pas mais j’y viens. Alors la madame pour sois disant calmé ma jeunesse déganter, car supposément aller dans les clubs ou mentir sur mon identité aux inconnu est un gros problème chez moi… Malgré le fait que je lui répète que si je veux devenir actrice je doit trouver les meilleurs moyen pour me mettre dans la peau de quelqu’un d’autre elle n’a pas apprécier que je me fasse passé pour une suédoise milliardaire a mon premier jour dans ma nouvelle école… et elle a voulu m’envoyer dans un genre de camps pour les jeunes a problème… Hey oh je n’ai rien d’une droguer a ce que je sache… et mon père n’a rien pu faire pour changer la décision de la folle au bord de la ménopause…. Et la je me retrouve dans cette ville… loin de mes amis. Heureusement mon frère y est et j’ai réalisé qu’il y avait des gens que je connaissais quand même ici… Mais la liberté n’est pas la même… je retarde ma carrière et ça m’énerve…. Au moins je peux toujours t’écrire Matthew…

Chelsea était assise dans le salon finissant d’écrire sa lettre pour son correspondant américain. Elle lui écrivait ans sa langue et lui, lui répondait dans celle de la jeune femme, ainsi donc il pratiquait toujours leur écrit… mais depuis le temps qu’ils s’écrivaient tout les deux, ils n’avaient plus aucun problème a le faire, Chelsea parlais l’anglais parfaitement et s’était la même chose pour l’homme, enfin c’est se qu’elle s’imaginait depuis le temps. Enfin Chelsea se demandait si un jour elle pourrais rencontré cet homme là, elle avait eu une photo de lui il y a environs un ans mais après tout on change en un ans, enfin surement qu’il ressemble encore pas mal a ça, les garçon ne change pas autant au fils des année que les fille, Elle il y a un an, avait les cheveux court… et maintenant sa longue chevelure la changeait beaucoup. Elle était devenu aussi beaucoup plus jolie depuis, quoi qu’elle n’ait jamais été moche non plus han!

Une fois sa lettre terminée la jeune fille déposa son crayon sur la table basse qu’il y avait devant elle. Elle plia la lettre et la mis dans un enveloppe, puis écrit l’adresse ainsi que le nom de l’homme qu’elle connaissait par cœur depuis le temps quoi. Puis elle mit mise sur la table par la suit. Elle ignorait que l’homme était lui aussi au camp de redressement mais comment l’aurait-elle sue? Elle se laissa tomber dans le long divan et s’étendit de son long en regardant le plafond… il y a tellement moins de choses a faire ici!

Franchement les choses s’étaient dérouler tellement vite que Chelsea ne savait plus trop ou se mettre dans tout ça. Elle avait les yeux fermer étendu sur le divan. Elle n’avait pas pu remarquer ce fessant l’homme qui s’était approcher de la table ou elle avait posé sa lettre. S’était apparemment un curieux celui-la mais bon elle fut surprise plutôt du fait qu’il lui prenne la main, car comme je le disait elle avait les yeux fermer donc en un centième de seconde elle s’était retrouvée debout, face a homme qu’elle ne croyait pas connaître, et qui avait qui plus est sa lettre dans la main et qui étrangement s’était son nom. Parfois la jeune fille était assez lente sur la réflexion car elle ne compris pas qui il était tout de suite, elle afficha plutôt une de ces expressions faciales qui n’appartenait qu’a elle, un genre de : mais oh t’es qui toi pour me volé mon courrier! Chelsea était très expressive dans l’ensemble de son elle même… bref.

-Hey oh on se gêne pas, ouvre la tant que tu y est!

La jeune fille enleva sa main de la sienne pour commencer et ramassa un couteau sur la table, bon pas un couteau super menaçant s’était plutôt le couteau parfait pour beurré les tartines. Elle le pointait vers lui comme si elle voulait le menacer de se faire beurrer de confiture a la fraise. Mais ce n’était pas son intention quand même, ni le menacer avec son couteau qui ne coupe pas pour récupéré sa lettre. S’était plutôt en guise d’ouvrir lettre pour continuer sa petite crise d’incompréhension du moment.

-Aller tiens sa ira mieux pour l’ouvrir, aller lit!

Assez théâtrale la petite Chelsea qui contradictoirement a ce qu’elle fessait, et disait ne tenait pas du tout a ce qu’il lise la lettre qu’elle avait adressé a son correspondant favori. Elle repris donc la terre de sa main tellement rapidement qu’elle failli le couper avec la feuille.